A Strasbourg, l’IRCAD met en œuvre cette nouvelle vision de la médecine et de la chirurgie. Retour d’expérience avec l’Institut sur cette application bien particulière de l’IA.

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L’IRCAD, c’est quoi ?

L’IRCAD est un institut de recherche médicale et chirurgicale créé en 1994. Les travaux de recherche de l’IRCAD ont toujours été orientés vers le développement de techniques chirurgicales les moins invasives possibles.

L’institut utilise l’Intelligence artificielle pour « augmenter » les compétences des chirurgiens, notamment autour de la vision du chirurgien et de sa main avec la robotique. Chaque année, 6200 chirurgiens du monde entier y sont formés par une équipe de 642 experts internationaux.

Le Projet Disrumpere

L’utilisation d’outils d’Intelligence artificielle permet à l’IRCAD de mener des projets de recherche ambitieux. Un des plus récents : le projet DISRUMPERE. Celui-ci vise à démocratiser l’usage de l’imagerie échographique augmentée à l’Intelligence artificielle. Les algorithmes d’IA permettront aux chirurgiens d’optimiser les images d’échographie et de l’assister dans la détection et le traitement robotisé des maladies, tels que des tumeurs, dans les organes des patients.

L’IRCAD et Bechtle

Pour concrétiser ces projets, Bechtle a orienté l’IRCAD vers une solution innovante et adéquate : la NVIDIA DGX™ STATION A100.
Après plusieurs mois d’utilisation, voici le retour d’expérience de Toby Collins, directeur de la cellule Surgical Data Science Research et Flavien Bridault, directeur de la cellule Software Development à l'institut IRCAD.
Toby Collins : « L'élément qui nous a le plus impressionné avec la station, par rapport à la précédente, c’est l’augmentation de la productivité. C’est très important pour nous d’avoir des résultats rapidement car l’IA est un process itératif. Grâce à cette nouvelle version, nous pouvons travailler sur des modèles 3D quasiment trois fois plus vite. Et cela améliore grandement notre réactivité au quotidien. Donc en résumé, nous en sommes ravis et en plus nous ne l’avons pas encore saturé. Si cela venait à être le cas, nous n’hésiterions pas à nous en procurer une deuxième. »
Flavien Bridault : « Sur la précédente génération nous avions 8 GPU. Aujourd’hui, avec seulement 4 GPU, nous avons trois fois la puissance de la configuration d’avant. De plus, en matière d’encombrement, la machine est bien plus petite. C’est une station qu’on peut glisser sous un bureau, là où avant on avait un serveur stocké, alimenté et réfrigéré dans une armoire dédiée. »

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